🍿 2022-06-24 04:51:21 – Paris/.
Comme l’affirme Bad Bunny dans « El apagón »: « Maintenant, tout le monde veut être latino. » Ce phénomène qui se produit dans la musique, avec des représentants comme Shakira, Karol G et Bizzarap avec leur longue liste de collaborateurs, dont Benito se vante ; il a son corrélat dans les arts audiovisuels et Netflix l’a détecté. Le succès mondial de feuilletons télévisés comme « Café con aroma de mujer » ou de séries espagnoles comme « La casa de papel » ou « Elite » n’est pas le fruit du hasard.
Comme nous l’avons mentionné, des acteurs montants tels que la fille de « El Puma » Rodríguez, Génesis Rodríguez, le Cubain William Levy, ou Úrsula Corberó rejoignent la liste des artistes hispanophones reconnus tels que Penélope Cruz, Salma Hayek, Javier Bardem ou Leonardo Sbaraglia . Mais si même le Bad Bunny susmentionné participe au dernier film mettant en vedette Brad Pitt. Heureusement, en plus d’ouvrir le jeu dans ses productions originales, Netflix il sauve également d’autres productions bien connues des pays hispanophones. Aujourd’hui, nous parlerons de: Viande tremblante (Pedro Almodóvar), L’oubli que nous serons (Fernando Trueba) et Le roi des onze (Daniel Burman).
Viande tremblante : Pedro Almodóvar et l’un de ses films les plus provocateurs, lorsque son style s’est répandu dans toutes les images de ses productions ; avec la performance de Javier Bardem mentionné précédemment et Penelope Cruz. Drôle, irrévérencieux et parfois inconfortable, un véritable exercice dans le meilleur style almodóvar. Une jeune femme et trois hommes armés se retrouvent dans une maison. Elena attend son trafiquant de drogue, David (Javier Bardem) et Sancho (José Sancho) sont des policiers, et Víctor (Liberto Rabal) est un adolescent obsédé par Elena. Une violente dispute éclate entre eux. Lorsqu’ils se retrouveront deux ans plus tard, plus rien ne sera comme avant.
Source : Filmaffinité
L’oubli que nous serons : sélectionné officiellement pour le Festival de Cannes 2020, ce film que l’on peut retrouver dans Netflix raconte intimement l’histoire d’un homme bon, le médecin colombien Héctor Abad Gómez, leader social charismatique et père de famille, médecin exceptionnel et militant des droits de l’homme dans la Medellín polarisée et violente des années 1970. la vie du médecin et père de famille, soucieux tant pour ses enfants que pour les enfants des classes défavorisées. Dans sa maison respiraient la vitalité et la créativité caractéristiques d’une éducation fondée sur la tolérance et l’amour, mais la violence environnementale du pays conditionne la vie de tous ceux qui l’entourent.
Source : Filmaffinité
El rey del Once : Burman permet à deux grands acteurs qu’on a l’habitude de voir dans des rôles secondaires de briller ; Julieta Zylberberg et Alan Sabbagh brillent entre humour et drame. Ce film disponible en Netflix raconte l’histoire d’Ariel, qui croit avoir laissé son é derrière lui, séparé de son père, après avoir construit une nouvelle vie réussie en tant qu’économiste à New York. Appelé par son père, dont la mission dans la vie est de diriger une fondation juive d’aide et de charité dans le quartier Eleven, il retourne à Buenos Aires. Il y rencontre Eva, une femme muette et intrigante qui travaille à la fondation. Ariel retourne donc à El Once, le quartier juif de son enfance. Des retrouvailles avec la tradition qui ont engendré l’éloignement, et face au paradoxe d’un homme qui aide tout le monde, mais est incapable d’aider son fils Ariel.
Source : Filmaffinité
SOURCE : Reviews News
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